[Avis] City Cop 2, De Herman Yau

Titre : City Cop 2
Année : 1995
Durée : 1h39
Origine : Hong-Kong
Genre : Polar
Réalisateur : Herman Yau

Acteurs : Michael Chow, Parkman Wong, Danny Lee, Ben Ng, Tam Suk Mui, Peter Yung

Synopsis : Deux fllcs, coéquipiers aux caractères bien différents, poursuivent de dangereux braqueurs de bijouteries …

Avis Best : Un polar dans la grande lignée des pépites d’époque, avec tous les ingrédients pour concocter un digne représentant du genre. Deux flics (Michael Chow et Parkman Wong) se retrouvent à traquer une bande de braqueurs de bijouterie sans foi ni loi. L’un est jeune et expéditif (qui a dit bourrin ?), accompagné de son partenaire plus âgé, père de famille aimant mais ne délaissant pas pour autant son travail et ses acolytes. Le duo fonctionne bien et constitue la pierre angulaire sur laquelle repose le film. L’ambiance est très bien rendue, une autre qualité essentielle pour sentir le délicat parfum polar made in HK.


Un polar sans fusillades ? Et pourquoi pas un repas sans dessert ! Rassurez-vous, elles sont nombreuses et énoooormes ! De véritables scènes de guérilla urbaines, sanglantes et à l’intensité jamais démentie. Ça ne calcule pas, ça tire à tout va ! Le tout étant superbement chorégraphié, c’est le panard intégral.

Alors bien sûr, on n’hésite pas à forcer les trais, à sur-jouer par instants, on pousse l’émotion vers des frontières dangereuses, mais rien de gênant. Parce que la réalisation est de qualité, les personnages attachants et le scénario efficace, bien que peu original. Et si vous aimez Kirk Wong, vous retrouverez sans doute quelque chose là-dedans qui vous rappelera ses meilleurs heures.

Dommage qu’il m’ait fallut le voir sans sous titres, mais apparemment il n’y a pas le choix. Et comme vous avez pu le lire, cela n’a en rien gâché mon plaisir.

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Auteur : Best

Même après toutes ces années, les fights et autres cascades lui sont d’une réjouissance sans pareil. Les tranches de vie où les personnages sont au cœur des débats sont toujours un ravissement. Qu’il s’agisse d’un film bien con ou de toute autre chose, peu importe. Le bonheur cinématographique se trouve partout. Comme le veut la formule ; « Qu’importe le flacon, pourvu qu’il y ai l’ivresse ».
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