
Trois ans après les événements du premier jeu, Ryza vit toujours sur l’île de Kurken où elle travaille comme alchimiste. Son ami Tao, étudiant à la capitale depuis, fait appel à ses talents pour aller explorer des ruines qui auraient un rapport avec l’alchimie. Ça tombe bien puisqu’au même moment, le père de Bos, ami de Ryza, découvre une pierre mystérieuse qu’il confit à Ryza.
GRAPHISMES
Comme le premier opus, c’est beau, coloré, fluide (à quelques ralentissements près en début de partie, je n’ai pas compris), et si on adhère aux designs du studio Gust, c’est du tout bon !
JOUABILITÉ
Des combats encore plys dynamiques qu’avant et un système d’alchimie un poil plus permissif mais toujours aussi bien pensé, pour malheureusement une exploration minimale, mais plaisante.
DURÉE DE VIE
une durée de vie assez similaire au premier opus, malgré une introduction qui prend tout son temps. Des quêtes secondaires, des missions dans tous les coins, beaucoup de choses à créer, de produits à récolter, on en a pour notre argent.
BANDE SON
La formule habituelle pour la saga Atelier, la bande son est joviale, que ce soit en exploration ou en combats, et ça convient parfaitement.
CONCLUSION
Atelier Ryza 2 avait toutes les cartes en main. Si Gust a amélioré les combats et l’alchimie, affinant encore une fois la formule de la saga Atelier, il y a à redire sur le reste, tant c’est encore plus dirigiste qu’avant. Et si le contenu annexe est énorme, une fois le jeu terminé, il n’y a qu’un malheureux boss optionnel. Pas de fins multiples, de nouvelles zones, de défis, rien. Dommage. Mais le jeu reste sympathique pour l’amateur de JRPG, et l’amateur des Atelier.




